Baxter Dury - Pleasure

Avant de parler de Baxter Dury, un petit mot pour évoquer l'avenir de ce blog. Après avoir été plutôt productif sur les 4-5 premiers mois suivant sa création fin décembre 2013, l'activité sur Last Stop ? This Blog ! n'a cessé de décroître. D'où la nécessité de repenser le concept.

Etant plutôt actif sur http://www.indierockmag.com et accordant la priorité à ce dernier site, il devenait ridicule de commenter ici aussi des disques. Je vais donc me concentrer, comme je l'avais envisagé il y a quelques temps, sur de simples morceaux.

Je suis toujours convaincu qu'une bonne chronique peut permettre d'attirer le chaland et de faire aimer un disque (il y a pleins d'albums qui figurent parmi mes disques de chevet sur lesquels j'ai été obligé d'insister puisqu'ils s'éloignaient de ma zone de confort et ce, grâce à de chouettes reviews) mais je n'ai pas le temps d'en faire régulièrement ici.

Je privilégierai donc le partage de morceaux sans les accompagner de romans (quelques lignes quand même, je ne pourrais m'en empêcher) mais j'essaierai de me tenir à un rythme régulier car le blog, en l'état actuel, est en respiration artificielle, et il ne servirait à rien de le poursuivre de manière aussi soporifique.



On commence donc avec Baxter Dury qui nous sort un It's A Pleasure assez incroyable. Peu de titres disponibles concernant ce disque puisqu'il ne sortira que dans 8 jours (j'aurai sans doute l'occasion d'en mettre au moins deux autres à l'honneur dans ces colonnes tant ils sont addictifs), mais le (presque) éponyme Pleasure, avec ses synthés cheaps qui passent étrangement bien car le dandy n'en fait pas des tonnes, sa rythmique martiale et sa voix nonchalante (et heureusement plus juste qu'en live) me charment immédiatement.

Attention, cet album sur lequel il partage la couverture avec un horrible cygne constituera l'un des grands crus de cette année 2014 dans une veine indie rock désabusée.