Julien Doré, pour moi, c'est un artiste issu de la télé réalité (ça part mal), la même que celle qui a vu "émerger" Steve Estatoff (aïe, rien que de me souvenir de son nom me provoque un sentiment diffus de honte), adoubé par André Manoukian et compagnie (pas mieux) et l'infâme single Les Limites.
Sauf que ce single n'était que l'arbre qui cachait la forêt. Et c'est grâce à Francky que j'ai pu changer mon regard.
Løve, le dernier disque de l'artiste, sorti en 2013, était salué par de nombreux chroniqueurs dont je partage usuellement les goûts, mais ça n'avait pas suffi à me donner envie d'écouter le disque (chose que je n'ai toujours pas faite). Encore une fois, c'est par le biais d'un EP, plus court et donc moins engageant, que j'ai découvert un artiste. Julien Doré And The Bash, sur lequel le Français s'entoure de certains amis de la première heure, est particulièrement efficace, et m'a donné envie d'accéder à Bichon (2011), un album dont, ni le nom, ni l'auteur, ne me faisaient particulièrement envie, mais qui s'avère bien efficace et contient son lot de très bons moments, à l'instar de L'Eté Summer...
En effet, c'est une agréable surprise...
RépondreSupprimerJe ne peux que me réjouir d'un tel enthousiasme !! Et tu fais vraiment preuve d'ouverture d'esprit, de remise en question....chose rarement rencontré, hélas, dans le milieu "Indie" !! On catalogue trop vite à tord les artistes, les intellectuels, les gens en général. Les "libres-penseurs" que l'on ne peut ranger dans une case précise, on aime pas. Surtout ici, très franco-français il me semble.
RépondreSupprimerEn tout cas, je le redis haut et fort :"Løve" est (pour moi) le meilleur album made in France 2013 !!!
A + amigos@